Dans le ciel déambulent
de petits flocons blancs
Qui dansent, qui ondulent
Escortés par le vent
Ils tournent puis s'accumulent
Sur les monts frissonnants
Comme des pellicules
Sur un crâne accueillant
Pour virer ces crapules
Aucun médicament
Le Petrole Hahn, c'est nul
Pour ce genre de tourment
On subit, incrédule,
Ces maudits chenapans
Qui fourmillent, qui pullulent
Et nous glacent le sang
Ici, le temps bascule
Et repeint tout en blanc
C'est un curieux pécule
Que le ciel répand
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