Tandis qu’avril ouvre les cieux,
Que la violette fleurit les prés,
Dans le jardin trop silencieux
Un vieux chapeau, un tablier,
Un printemps sans son regard bleu,
Un bouquet de tristes pensées,
Et une bruine dans nos yeux.
Le jardinier s’en est allé...
Ce joli poème m'a fait pleurer. Merci Lydie.